Le fabuleux destin d'Armand

Armand tout jeune adepte du culte du Phénix doré n’avait cesse de critiquer son prêtre Garin, qui d’une dévotion sans pareil considérait Armand comme son fils. Les humiliations allaient croissantes et en public bien souvent, à tel point que de nombreux fidèles de l’ordre devaient demander à Armand d’utiliser un langage bien mieux adapté vis à vis de celui qui l’avait fait entré dans l’ordre.
Cependant rien n’y faisait les allusions sur une soi-disant sexualité déviante allaient bon train, et c’est dans le recueillement et la prière que Garin s’enfermait alors. Ce bon prêtre vouait sa vie aux cas désespérés, et il avait vu en Armand, une telle misère, une telle disgracie que pour lui cela ne pouvait être que le Phénix en personne qui le mettait à l’épreuve.
Cependant, les prières de Garin portèrent leurs fruits, et lors de la bataille finale, Armand fut blessé, on du lui ôter les 2 jambes ainsi que les 2 bras. Abandonné de tous, en particulier de son frère Argail, Armand pu une fois de plus compter sur la bienveillance de Garin qui l’emmena dans son cloître afin de veiller sur son protégé.
Il est vrai que Garin avait des attirances envers les enfants ; mais que le Phénix est grand et généreux, c’est bien entendu lui qui a rendu Armand de la taille d’un enfant, et c’est sous la coupe de Garin, que ce dernier peut évacuer ses pulsions malfaisantes dans la croupe de son petit protégé. Désormais libre de ses démons intérieurs, Garin peut convertir les enfants de Tserpy sans scrupule aucun, et quand l’heure de la messe sonne Garin offre sa bénédiction à Armand d’une manière fort peu orthodoxe certes, mais la vie d’ascète du prêtre offre bien peu de réconfort, alors sautons sur l’occasion quand elle se présente….

Gloire au Phénix doré, gloire à Armand ! ! !

le dormeur

heureusement que jai rien vu de tout sa jaurai vomi sinon